L’Étang aux Antilles
Cette vue cubaine est une ode à la lumière, avec ses verts, ses rouges, ses roses et ses bleus qui insufflent une sensation de pureté originelle. Sa composition est identique à une carte postale qui appartenait à James W. Morrice. Le peintre y ajoute deux personnages. Il privilégie l’effet translucide de l’aquarelle, technique qu’il pratique depuis 1918. Ce traitement rappelle celui de La Palme de Matisse, tableau réalisé en 1912, que Morrice a vu et dit avoir apprécié.