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Orchestre symphonique de Québec

Béatitude : la joie illustrée en musique

Une présentation de l'Orchestre symphonique de Québec

Mercredi 19 avril | 12 h 15

La notion de joie chez Arvo Pärt et Beethoven est assez fascinante. Les deux pièces, présentées par des musiciens en petite formation de l’Orchestre symphonique de Québec, sont en lien avec l’exposition L’Art de la joie.

Joie et plénitude vous envahiront à l’écoute de ces oeuvres merveilleuses.

AU PROGRAMME

Beethoven : Quatuor à cordes nº 15 en la mineur, op. 132 (extraits)

Pärt : Spiegel im Spiegel

La notion de Joie chez Arvo Pärt et Beethoven est assez fascinante. La plus grande illustration de «victoire de la Joie» dans la musique de chambre de Beethoven est sans contredit le Quatuor no. 15, opus 132. Écrit un an après la Neuvième Symphonie, son finale a failli être utilisé comme conclusion de celle-ci, n'eut été de cette idée géniale de l'hymne à la joie.

Cette œuvre est une véritable prière, un chant de louange pour la guérison, avec une illustration très «graphique» du sentiment de joie et de plénitude. C'est la joie dans la béatitude...

Spiegel im Spiegel est une œuvre du compositeur estonien Arvo Pärt, écrite en 1978. Son titre signifie « Miroir(s) dans le miroir » et l’œuvre est dédiée au violoniste Vladimir Spivakov. Comme son nom l'indique, Spiegel im Spiegel est une œuvre à deux voix: une mélodie jouée par un instrument monodique et un accompagnement joué par un clavier ou une harpe.

Cette pièce dure environ 8 minutes et a été utilisée dans plusieurs films. Arvo Pärt qualifie sa façon de composer de style "tintinnabuli" qu'il explique ainsi: « Je travaille avec très peu d'éléments - une ou deux voix seulement. Je construis à partir d'un matériau primitif - avec l'accord parfait d’une tonalité spécifique. Les trois notes de l’accord parfait sont comme des cloches. C'est la raison pour laquelle je l'ai appelé tintinnabulation ».

À l'écoute de cette œuvre, on peut bien percevoir à la fois cette appel à la jubilation et à la joie évoqué par l'effet de cloche, entremêlé d'une certaine mélancolie dans la ligne mélodique.

Mercredi 19 avril | 12 h 15

Gratuit

Grand hall, pavillon Pierre Lassonde.

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